Tout savoir sur la dysphorie de genre : voyage au cœur d'une réalité méconnue

Vous vous êtes déjà senti mal dans votre peau ? Pas juste un jour où vous vous trouvez moche devant le miroir, mais une sensation profonde et persistante que quelque chose cloche fondamentalement ? C'est un peu ce que vivent les personnes atteintes de dysphorie de genre, mais en mille fois plus intense.

dysphorie de genre, la petite définition

La définition de la dysphorie de genre c’est ultra simple. Imaginez que vous vous réveillez un matin dans le corps du sexe opposé. Flippant, non ? Pour les personnes souffrant de dysphorie de genre, c'est leur réalité quotidienne. En gros, c'est quand votre cerveau vous dit "Je suis un homme" (ou une femme), mais que votre corps raconte une toute autre histoire.

Comment savoir si on souffre de dysphorie de genre : les signes qui ne trompent pas (ou presque)

Alors, comment on sait si quelqu'un souffre de dysphorie de genre ? On peut faire un test dysphorie de genre, mais c’est pas super fiable. Sinon, voici quelques indices :

Chez les petits

  • Le petit Léo qui pique systématiquement les robes de sa sœur ? Ça pourrait être un signe. 
  •  Une gamine qui insiste mordicus qu'elle est un garçon ? À surveiller. 
  •  Un enfant qui fait une crise quand on l'envoie dans les toilettes "pour filles" ou "pour garçons" ? Hum... 

Chez les ados et les grands :

  • Vous connaissez quelqu'un qui change de prénom comme de chemise ? Peut-être qu'il/elle cherche celui qui lui correspond vraiment. 
  •  Une personne qui semble toujours mal à l'aise dans ses vêtements, peu importe ce qu'elle porte ? Ça pourrait cacher autre chose. 
  •  Quelqu'un qui évite les miroirs comme la peste ? Y'a peut-être anguille sous roche.

Mais attention, hein ! C'est pas parce que votre neveu aime jouer à la poupée qu'il faut tout de suite penser dysphorie de genre. Ces signes doivent persister pendant un bon bout de temps (genre, au moins six mois) et causer un vrai mal-être pour qu'on commence à se poser des questions.

L'euphorie de genre : quand le vêtement devient affirmation

Hey, vous savez quoi ? Parfois, c'est pas la dysphorie qui prend le dessus, mais son opposé : l'euphorie de genre. C'est ce moment magique où tout s'aligne enfin, où vous vous sentez enfin vous-même. 

Et quoi de mieux pour célébrer ça qu'un fringue qui claque ? Laissez-moi vous parler du t-shirt unisexe "Euphorie de genre" de Proud & Gay. C'est pas juste un bout de tissu, c'est une déclaration. Imaginez un peu : vous le mettez, et boom ! C'est comme si vous criiez au monde entier "Je suis là, je suis moi, et c'est génial !".

Ce t-shirt, c'est comme une armure contre les mauvaises ondes, mais en plus confortable. Il est unisexe, parce que franchement, les étiquettes, on s'en tape un peu, non ? Il est doux comme un câlin et résistant comme votre détermination. 

Les causes de la dysphorie de genre : le grand mystère

Alors là, accrochez-vous, parce qu'on entre dans le flou artistique. Il n’y a pas une explication scientifique à la dysphorie de genre. Les experts se cassent les dents sur cette question depuis des lustres. C'est un peu comme essayer de comprendre pourquoi j'aime la coriandre et pas ma sœur - y'a pas de réponse simple.

  • La biologie qui fait des siennes : Certains pensent que c'est à cause d'un bain hormonal un peu particulier pendant la grossesse. Genre, le cerveau qui se développe dans un sens et le corps dans l'autre. 
  •  Les gènes jouent aux dés : D'autres scientifiques pointent du doigt nos chers amis les gènes. Comme si on n'avait pas déjà assez de trucs à leur reprocher... 
  • L'environnement s'en mêle : Et puis y'a ceux qui pensent que c'est l'environnement qui influence tout ça. Mais attention, ça veut pas dire que c'est la faute des parents ou de la société. C'est juste que... ben, c'est compliqué. 
  • Le cerveau fait sa révolution : Tiens, on a même trouvé des différences dans la structure du cerveau de certaines personnes trans. Comme quoi, on a vraiment tous des cerveaux uniques !

Le truc à retenir, c'est que la dysphorie de genre, c'est pas un choix. Personne ne se réveille un matin en se disant "Tiens, et si je me sentais mal dans ma peau aujourd'hui ?". C'est comme être gaucher ou avoir les yeux bleus - ça fait partie de vous, point barre.

Quand la vie quotidienne devient un parcours du combattant

Bon, on va pas se mentir, vivre avec la dysphorie de genre, c'est pas une partie de plaisir. C'est un peu comme si vous jouiez à un jeu vidéo en mode ultra-difficile, H24.

La santé mentale en prend un coup

Imaginez un peu : vous vous réveillez tous les matins en vous sentant comme un imposteur dans votre propre corps. Ça file pas la pêche, hein ? Résultat : l'anxiété et la dépression pointent souvent le bout de leur nez.

Les relations sociales, c'est compliqué

Essayez d'expliquer à mamie Germaine pourquoi vous préférez qu'on vous appelle "iel" plutôt que "il" ou "elle". Pas gagné ! Les personnes trans doivent souvent jongler entre ceux qui comprennent, ceux qui essaient, et ceux qui... bah, qui pigent que dalle.

Boulot, études : la galère

Trouver un job ou réussir ses études quand on est pas bien dans sa peau, c'est comme essayer de courir un marathon avec des tongs. Pas impossible, mais sacrément plus dur. Sans parler des regards en coin à la machine à café ou dans les couloirs de la fac.

Le quotidien devient un champ de mines

Choisir ses fringues le matin ? Un casse-tête. Aller aux toilettes en public ? Une source d'angoisse. Se regarder dans le miroir ? Parfois impossible. Des trucs tout bêtes deviennent des montagnes à gravir.

Comment traiter la dysphorie de genre : transition ou pas transition ?

Alors, la transition, c'est un peu le Saint Graal pour beaucoup de personnes trans. Mais attention, y'a pas de formule magique !

La transition sociale : changement de look

Ça commence souvent par un relooking. Nouveau style, nouvelle coupe de cheveux, nouveau prénom... C'est comme si on faisait un reboot de sa vie. 

La paperasse : bienvenue en enfer

Changer son prénom et son genre sur ses papiers, c'est un peu comme essayer de résoudre un Rubik's Cube les yeux bandés. Formulaires, tribunaux, administrations... Préparez-vous à devenir pote avec la photocopieuse du coin.

La transition médicale : pas pour les petits joueurs

Hormones, chirurgies... C'est du lourd. C'est un peu comme si on reprogrammait son corps. Ça peut faire peur, mais pour beaucoup, c'est aussi libérateur qu'un bon plongeon dans une piscine un jour de canicule.

COMMENT ÊTRE UN BON ALLIÉ (SANS PASSER POUR UN BLAIREAU)

Vous connaissez quelqu'un qui est trans ou qui se pose des questions sur son identité de genre ? Voilà comment ne pas être un boulet et être un bon allié :

  1. Écoutez, bordel ! Fermez votre clapet et ouvrez vos esgourdes. C'est pas le moment de raconter comment votre cousine a changé de coupe de cheveux et que c'était "presque pareil". 
  2.  Les pronoms, c'est sacré ! Si on vous dit de dire "elle" au lieu de "il", faites-le. C'est pas plus compliqué que d'apprendre le prénom de votre nouvelle belle-sœur. 
  3.  Éduquez-vous Google est votre ami. Lisez, regardez des vidéos, informez-vous. C'est pas aux personnes trans de vous faire un cours magistral sur leur vie. 
  4.  Défendez-les : Si vous entendez des conneries transphobes, ouvrez votre mouille. Être un allié, c'est pas juste mettre un drapeau arc-en-ciel sur son profil Facebook. Proposez votre aide Parfois, un simple "Je suis là si tu as besoin" peut faire des miracles.

LE MOT DE LA FIN : VERS UN MONDE MOINS CON

Bon, on va pas se mentir, on a encore du boulot pour que tout le monde comprenne et accepte la dysphorie de genre. Mais hey, Rome ne s'est pas faite en un jour (et encore heureux, parce que les Romains, côté droits LGBT, c'était pas vraiment ça).

L'important, c'est de garder en tête que derrière chaque cas de dysphorie de genre, y'a un être humain qui galère. Un peu de compassion, ça coûte que dalle et ça peut changer des vies. 

Allez, sur ce, je vous laisse méditer là-dessus. Et n'oubliez pas : être différent, c'est pas un bug, c'est une feature !

Laisser un commentaire

Veuillez noter que les commentaires doivent être approuvés avant d'être publiés